mardi 26 février 2008

Ordinary life

Cesser de danser la tarantelle en vous demandant quand diantre j'allais bien vous faire part d'une nouvelle aventure, tirée de ma vie super jet-set, car ce moment est arrivé. Flambez vos soutien-gorges et prenez-en pour votre rhume, c'est parti.

...

Bon.

Je mets beaucoup de flafla mais en vérité, il ne m'est pas arrivé grand chose. Si ce n'est que j'ai voulu faire un bricolage et que mes deux bâtons de colle étaient sèchés. Avec grand fracas, j'ai me suis mise à maudire ce système de consommation dans laquelle on vit et qui m'oblige à acheter de la colle en bâton aux six mois. "Maudit sois-tu, système de consommation" que j'ai dit.


Ensuite, je me mise à bouder.

Confidence pour confidence, je suis pas mal bonne là-dedans, le boudage. Par contre, je suis relativement nulle en jardinnage. Mais je crois qu'il est important, pour son développement personnel, de connaître ses forces et ses faiblesses. J'ai beau être bonne en boudage, Victor me bat à plate couture.

Également présente dans ma journée, une nouvelle définition du mot vomi, interprètation libre du Petit Arno.

vomi: C'est une sorte de caca qui sort par la bouche.

À ça je répond, oui.

Oui mon fils, tu as bien raison. Et tout est plus clair maintenant. Car si j'avais voulu la définition de vomi du Petit Robert, il m'aurait répondu: "vomissure". N'en sachant pas plus, je lui aurais demandé d'un air intrigué: "mais encore?" et il m'aurait tout bêtement répondu: "matière vomie".

Entre Petit Arno et Petit Robert, j'opte définitivement pour le premier. Clair, limpide, précis.

Ma journée se résume à cela.

Pas de quoi brûler vos soutien-gorges vous me direz. Et vous avez entièrement raison. Heureusement la devise ici, n'est pas satisfaction garantie ou argent remis.

samedi 23 février 2008

Ce blogue fût entrecoupé par un appel de Coco

Je suis fébrile. Transformée en sauterelle, je dois donner l'impression de m'être injectée l'équivalent de 4 grammes de poudre directement dans les veines. Il me reste un cours, un tout petit cours et je serai libre.

La semaine de relâche

Vous vous en rappeler aussi? De cette excitation nerveuse qui donnait envie de crier sa joie, de chanter le tube de Kool and the gang (Celebrate good time, come on!) lorsqu'un tout petit cours nous séparait de la liberté tant attendue que nous apportait la semaine de relâche...Miam...

Toute une semaine à jouer les pachas, à dormir jusqu'à midi, à flaner avec les copains, à aller faire du grabuge dans les rues de la ville, à se fumer des pétards et à écouter de la musique. Elle goutait bon l'adolescence durant la semaine de relâche. On avait l'impression constante d'être dans un clip de Smashing Pumpkins.



Tout ça c'est du passé.

Parce qu'aujourd'hui mes p'tits chats, j'ai une sapré dent contre cette fameuse semaine de relâche (à marde). Je vois l'autre côté de la médaille maintenant. Je la vois avec mes yeux d'adulte, mes yeux de parent.

Comment je fais moi, avec 2 gamins en garderie, lorsque la semaine de relâche débarque? Hein? Hein? Parce que si j'envoie mes gosses en garderie, c'est pas seulement pour faire beau dans une conversation ("Alors tu vois, moi, j'envoie mes gamins en garderie. Ils sont bien traités j'te jure! Tu me repasses le vin?") mais bien parce que j'en ai besoin de la garderie! Je ne tombe pas en congé pour une semaine moi, non, non, non! Et le père des deux monstres non plus, non, non, non! Qui c'est le cave qui a pensé à mettre tous les enfants en congé en même temps mais pas leurs parents? Hein? Hein? C'est qui le cave?

Je vous hais, Monsieur le cave. Tenez-vous le pour dit.



Montée de lait # 2

Vendredi. Jour de ménage. Je m'arme de chiffon, de pouch-pouch-qui-sent-le-propre-et-l'amoniac ainsi que de mon alliée la plus nécessaire, j'ai nommé, la balayeuse. Je précise ici que ce n'est pas mon moment préféré de la semaine. Oh. Que. Non.

Mais bon, j'attaque le bordel avec l'énergie du désespoir et ce dont je m'aperçois au bout de 2 heures, c'est que le tour est joué. Sensass. Dansons pour fêter.

Samedi midi. Le plancher à déjà l'air de ça.



C'est comme si j'avais peté dans l'eau finalement...

( C'est bien ça l'expression? À moins que ce soit, Donner un coup d'épée dans l'eau et Pèter dans les fleurs...Je ne sais pas trop)

dimanche 17 février 2008

Confession du dimanche soir

Je partage un truc avec vous ce soir.

Je l'avoue,

j'ai vraiment la trouille de Grace Jones.

Vraiment.





V-R-A-I-M-E-N-T