Arno: Maman! Maman! Devine ce que j'ai fait aujourd'hui à la garderie?
Maman: Heu... Attends... T'as recréé une version pour enfants de la comédie musical Grease?
Arno: Non? J'ai fait de la crottinette!
Maman: De la crottinette? Vraiment?
Arno: Oui, oui, Maman, de la crottinette!
Bon.
Parlez-moi de ça une garderie scatophile.
6 commentaires:
hahahahahah
tout simplement a-do-ra-ble =0)
Jérôme!
J'en profite pour te féliciter, devant tout le monde, pour ton deuxième! (A t'il maintenant un nom ce minuscule enfant?)
Avoir 2 enfants, ça affecte BEAUCOUP la santé mentale, je tiens à t'aviser de ça...
Néanmoins, je vous souhaite tout plein de bonheur familial!
xx
Héhéhéhé je suis complètement d'accord avec toi qu'avoir deux enfants ça affecte gravement la santé mental. En fait, moi et ma blonde on n'arrête pas de faire des jokes plates ou de dire des phrases qui, lorsques prises hors contexte, sonnes totalement absurde.
Exemple: "Ah! Son nombril est rendu là!"
Contexte: il vient de perdre son excédent de nombril mort et il est resté collé sur sa couche.
Son petit nom c'est Olivier finalement. Sa grande soeur aura eu le dernier mot finalement, elle qui n'arrêtait pas d'appeler son futur petit frère Olivier depuis Noël!
Ah ouais, les restants de nombril morts...J'avais oublié cet épisode. Comment ais-je pu oublier ça? C'est tellement la poisse de nettoyer c't'affaire là à grand coup d'alcool à friction...Et ça décolle tout tranquillement...
Heureusement, pour vous, celui de petit Olivier est tombé, plus de soucis avec ça maintenant!
Et c'est chouette que ce soit ta fille qui ait trouvé le prénom. Et qu'elle n'ait pas tenu mordicus à l'appeler Barbie ou Fido.
Quand mon petit frère est né, mes parents n'ont jamais voulu me laisser le nommer comme je l'entendais, c'est-à-dire Franfreluche. Depuis ce temps, je passe tous mes après-midi en position feotale, me balançant de gauche à droite.
Oui mais Dez, penses-y maintenant du haut de ta vingtaine: Franfreluche, c'est bien trop long à écrire. À la maternelle, il aurait coulé, ton frère, à l'épreuve d'écrire son nom. C'est pas que le nom n'était pas joli, loin de là. Comprends-tu? Maintenant cesse ce cirque, relève toi et va travailler. Et n'oublie pas d'essuyer le ti-peu de bave qui te reste au menton.
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